Il y a près de 70 ans.

 

 

 

C'est sur l'une de ces plages du nord de la France, celle de Dieppe en l'occurrence, que des troupes anglo-candiennes tentèrent une opération commando de grand style en août 1942. Mais ce fut un total échec, les alliés laissant des milliers de prisonniers aux allemands et des centaines de morts et blessés sur le terrain. Pourtant rapidement, les raisons de cet échec seront analysées afin que le véritable jour J se transforme en compte à rebours mortel pour les troupes allemandes en Europe.

 

Une des raisons de l'échec se situe au premier plan. Il s'agit des galets, véritable piège pour les chars anglais participant à l'opération. La deuxième, la plus évidente sur la photo, réside dans l'effort colossale déployée par les allemands en notamment par l'organisation Todt, en charge de la construction du mur de l'Atlantique, pour couvrir les rivages des pays occupés de multiples casemates et autres trous de mitrailleuses.

 

Le temps passe, l'érosion fait son travail, mais les monstres d'acier et de béton, aujourd'hui pour certains aux abois, sont toujours là et témoignent d'une époque pas si lointaine ou des milliers d'hommes d'horizons multiples sont venus mourir sur nos plages pour déloger et tuer la bête ignoble et ses sbires qui occupaient notre pays et dont la politique reposait sur la haine et l'exclusion.

 

La haine et l'exclusion. La haine née de la peur. Elle s'en nourrit goulûment pour prospérer et s'étendre afin de mieux contaminer les esprits. En jouant sur les peurs, en désignant à la vindicte populaire des groupes extrêmement hétérogènes mais constitués de personnes ayant une et une seule caractéristique commune (Pays d'origine, français de "seconde catégorie" car né de parents étrangers...), on engendre la haine, une haine parfois payante sur le plan électoraliste mais qui peut se révéler comme une véritable boîte de Pandore. L'Histoire en est remplie d'exemples et les traces dans le paysage sont parfois encore visibles...

 

La neige, piège idéal.

Promenons nous dans les bois pendant que le loup n'y est pas...

Au premier plan, le centre de vacances de la commune de Vitry (94) gérée par l'association VVL. Au second plan, les pistes de ski enneigées de la station de Villard de Lans.

Les bois du chevreuil vont tomber dans les semaines qui viennent. Pour enlever le velours qui les couvrent, le chevreuil les frottent contre le tronc d'un arbre. Le cerf fait de même. Pour savoir, si les traces proviennent de l'un ou l'autre, il suffit de regarder à quelle hauter l'arbre a été "vandalisé".

Ci dessus, le "lit" d'un chevreuil pour une nuit. Il s'agit d'une couche. A noter la présence de crottes caractéristiques sur le côté gauche de celle-ci.

Une autre couche.

Une empreinte d'un chevreuil, animal appartenant à la famille des ongulés.

La forme des traces laissées par les animaux dans la neige nous indique différentes choses : Le mode de déplacement (marche, trot gallop, bond) la direction suivie, et le poids notamment. Ici, l'animal, sans doute un lièvre variable a laissé des traces dans la neige en bondissant.

Cet animal ne devait pas peser bien lourd. Les traces ne sont guère profondes. Il s'agit sans doute d'un petit rongeur. Le mulot par exemple ne pèse que 10 grammes pour certains.

Parfois il suffit de s'arrêter au cours d'une escapade au milieu de la nature, d'observer et d'imaginer....

Voici la trace d'un surfeur, mon ami Alexis, après s'être pris en arbre....

Les dernières nouvelles du loup. Le mois dernier deux loup ont été tués, l'un sur le commune de Villard de Lans (par balle) l'autre sur la voie rapide reliant Grenoble à Valence au niveau de la commune de Saint Marcel. Un autre a été vu en plein milieu du rond point de Lans en Vercors près d'Intermarché...A suivre.

Je vous laisse en compagnie de Vénus, observable dès le couché du soleil à l'ouest, objet le plus lumineux dans le ciel après la lune mais devant Sirius, l'étoile  la plus brillante de l'hémisphère nord.

D'un port à l'autre

D'un port à l'autre, de la mer du Nord à la mer Méditérannée.

Voici encore 60 ans après leur construction, des bunkers du mur de l'Atlantique, près du port de Dunkerque.

Oostende

Et vovi l'entrée du poprt de Sète, en cette fin du mois de septembre. Au premier plan, une mer de goélands leucophés, qui pullulent de plus en plus .

Et puis une rencontre un peu impromptue avec des Aigrettes Garzettes à côté des chalutiers du port, d'habitude noyés sous les vagues de goélands, vit le jour

Nos amis les...

Cet été lors des sorties nature avec les enfants sur les plages ou dans l'arrière pays, nous avons pu rencontrer de nombreuses espèces...

Notre ami le phasme gaulois

Une reproduction de Téléphaure fauve sur leur plante de prédilection, la carotte sauvage.

Un élémént échoué incongrue...il s"agit d'un congre justement

Un papillon, membre de la famille des cuivrés devant les marés salins de Guérande

Une araignée crabe adepte du mimétisme, une stratégie pour capturer ses proies...Le phasme, lui adopte la même stratégie (celle de se confondre avec un bout de bois ou une brindille) mais pour mieux se protéger d'éventuels prédateurs.

L'Epiaire Diadème

Non déterminée

Jeudi 20 mars

 

 Revenu d'Arménie, il y a seulement quelques jours, j'ai profité de quelques minutes ce matin, pour observer mère nature et quelques nouvelles espèces de plantes, certe très communes, mais qui étaient totalement absentes lors de mon départ. 

 

Voici donc Le fumeterre officinale

 

Selon Olivier de Serres, son nom, qui signifie fumée de terre, serait dû au fait que le jus de la plante fait pleurer les yeux, comme la fumée. On peut aussi penser que ses feuilles grisâtres donnent l'impression d'une sorte de fumée sortant de terre. Ce nom est attesté au début du XIII^e siècle sous la forme fumus terrae.

 

Au bord d'une route... 

 

...ou contre un mur.

 

Les contreforts du Vercors ce matin

 

 

La moutarde des champs ou sanve (Sinapis arvensis), est une plante annuelle herbacée de la famille des Brassicacées aussi nommée Crucifères, placée souvent dans les mauvaises herbes (adventices), envahissant champs et jardins.

Cette espèce est répandue, elle se rencontre en plaine et en montagne, dans les champs et aux bords des chemins, dans les terrains vagues. La floraison a lieu de mai à septembre.

Les jeunes plantes peuvent être consommées.

 

 

 

 

 

 

Avant le week end

Je vous propose quelques photos ce soir en même temps que je cherche à régler quelques petits problèmes informatiques de ce blog.

Voici la Paquerette ou Bellis Perrenis, annonciatrice des beaux jours

 

 Là je suis un peu déçu du résultat! 

 Le Pissenlit pointe le bout de son nez, pardon de son influorescence

 

Quel plaisir d'humer ces quelques violettes odorantes

 

 

 

Ces quelques branches constituent le paradis de nos amies les mésanges (Le plus souvent charbonnière mais parfois à têtes bleues). Faiblement équipé, il m'est difficile de pouvoir atteindre à leur droit à l'image 

Une petite histoire : Le nom de cette plante, la Capselle Bourse à Pasteur provient sans doute des siliques applaties triangulaires ou en forme de coeur que vous pouvez voir sur la photo. Le nom "bourse" vient de ces dernières et concerne donc la sexualité présumé de ces docteurs de la foi... 

 

Je vous salue, amis lecteurs et amis de la nature et faîtes moi cygne...